Pourquoi l’Histoire humaine semble se répéter ?
Depuis la nuit des temps, l’Univers connait des cycles astrologiques qui impulsent une énergie particulière sur l’humanité, lorsque certaines planètes se positionnent d’une manière spécifique. Je ne suis pas astrologue, bien que je m’intéresse depuis longtemps à l’influence des astres sur notre psychologie.
C’est pourquoi, je vous invite à écouter cette conférence de Christian Duchaussoy concernant l’astrologie mondiale de 2021 et 2022.
L’astrologie n’est pas une croyance, c’est un outil de compréhension de soi et du monde, quand cette science est utilisée avec intelligence et non pas comme une divination, ou comme du déterminisme.
L’être humain a toujours le pouvoir de construire sa vie dans le cadre qui lui est attribué.
Hé oui, il y a un cadre, ce cadre est notre corps physique. Nous ne pouvons pas vivre notre incarnation, sans notre corps physique. Nous avons aussi un mental (pensées, croyances, raisonnement, réflexion) qui participe à notre attitude comportementale face à des situations de vie, face à des difficultés que nous rencontrons sur notre chemin de vie. Nous avons aussi les émotions générées par les situations de vie qui impactent nos comportements et attitudes.
En résumé, nous avons le choix de vivre dans la sérénité ou dans le chaos (quelque soit l’environnement, les situations) selon comment nous prenons soin de notre état mental, émotionnel, psychologique et physique.
Par mon expérience professionnelle en séances de Constellations Systémiques et Familiales ainsi qu’en soin vibratoire de La Trame, j’ai constaté que l’être humain se confronte à 3 peurs principales qui l'empêche de préserver son bien-être et d'évoluer :
- La peur de la mort
- La peur de manquer
- L’angoisse de morcellement
La peur de la mort
Que ce soit pour notre propre mort ou pour la mort de nos proches, rien ne nous prépare, ici en occident en tous cas, à accueillir ce moment avec sérénité. Tout est fait dans notre société pour prolonger la vie coûte que coûte, et ne pas vieillir. La jeunesse est le faire-valoir de toutes les publicités à la consommation.
Le milieu médical (hôpitaux, médecins, infirmières, sages femmes etc.) et paramédical (maisons de retraite, hospices) est souvent désarmé face à la mort. Soit la mort est vue comme une fatalité, soit elle est accompagnée d’un sentiment d’impuissance, de culpabilité de n’avoir pu sauver la personne. Nous ne savons pas accompagner les mourants, nous ne savons pas leur parler, seulement les empêcher de souffrir physiquement (ce qui est déjà important), mais psychologiquement il reste encore à faire pour accompagner sereinement la personne à mourir, et aider les proches à vivre le deuil.
La mort a toujours été un sujet un peu tabou, pourtant elle n’est pas contagieuse, seulement inéluctable pour le corps physique lorsqu’il s’use ou suite à un accident ou une grave maladie.
La mort fait partie du cycle de la vie. La nature nous le montre quotidiennement.
Vivre toutes les phases du deuil est nécessaire pour la personne qui reste afin qu’elle puisse poursuivre sa propre vie sans être bloquée.
La mort d’un proche est une séparation physique avec lui, sa présence n’est plus sur le plan de l’incarnation mais sa mémoire persiste sur un autre plan, invisible à nos yeux.
La mort fait peur aussi car elle nous confronte soit au manque du disparu, soit à la peur de l’inconnu, s’il s’agit de notre mort.
La peur du manque, ou la peur de perdre
Le lien d’attachement est un lien nécessaire pour le sentiment de sécurité de la personne.
Dès la naissance, le bébé puis l’enfant tisse ce lien avec ses parents afin d’être comblé affectivement mais aussi matériellement, étant nourri, abrité et dans un environnement sécurisé.
Les parents pourvoient aux besoins de l’enfant, car ce dernier ne peut pas le faire. Ainsi l’enfant peut grandir, peut développer ses facultés à s’autonomiser au fur et à mesure, dans la confiance d’être toujours en sécurité. C’est important psychologiquement pour sa structure mentale en construction.
Plus tard, l’enfant devra vivre plusieurs séparations avec ses parents, d’abord dès l’école, ensuite aux études supérieures et puis jeune adulte, lorsqu’il aura à travailler, à se loger, à fonder sa propre famille et qu’il quittera définitivement le foyer parental.
C’est ainsi qu’à chaque étape d’autonomisation de l’être humain, celui-ci apprend avec plus ou moins de difficultés à s’individualiser pour répondre lui-même à ses besoins.
Le besoin de se sentir en sécurité est si important (archaïquement ancré dans le cerveau reptilien) que se détacher du lien (qu’il soit d’origine humaine ou d’origine matérielle) peut angoisser.
Ainsi, l’insécurité peut se retrouver dans tous les registres de la vie: vie affective, vie professionnelle, vie familiale, vie citoyenne. La peur de perdre ce qui est connu et qui sécurise, fait qu’on peut s’accrocher à une personne, à une situation. Ce peut être la peur de manquer (perdre) un travail, la peur de manquer (perdre) d’argent, la peur de manquer (perdre) de nourriture, la peur de manquer (perdre) de reconnaissance, la peur de manquer (perdre) d’amour.
Une peur n’est jamais objective mais subjective. Elle repose sur des ressentis, liés à une mémoire émotionnelle d’un passé que l’on a vécu qui se réactive. Cette mémoire peut appartenir aussi à quelqu’un d’autre et elle vient se mettre en résonance avec notre mémoire émotionnelle personnelle.
Ainsi la peur est souvent alimentée par le groupe, la masse, puisque nous sommes tous en résonance d’informations, même si ce n’est pas conscient pour beaucoup.
L’angoisse de morcellement
La difficulté de ressentir son corps physique, de percevoir par ses sens (le toucher, l’écoute, le goût, la vue) sa densité, de percevoir l’interaction du corps avec les émotions, le mental, nous coupe de nous-mêmes, de notre faculté à être bien ancré dans notre corps.
Ceci provoque alors une angoisse, souvent inconsciente qui entraine la personne qui en souffre à avoir des comportements et des attitudes qui la confrontent à des sensations extrêmes lui donnant le sentiment d'être bien vivant, une fois le danger surmonté.
Pour ne pas se sentir morcelée, la personne va sur stimuler son corps par des addictions, soit à la nourriture, à l’alcool, soit à des drogues (médicaments contre le stress, l’anxiété, consommation excessive de cigarettes, de substances psychotropes), addictions sexuelles et aussi dérives sexuelles, addiction à des sports extrêmes qui peuvent entrainer la mort.
Dans l’angoisse de morcellement, la personne peut rechercher inconsciemment le danger pour éprouver son corps et le ressentir. Au début c’est une recherche de plaisir et de bien-être mais qui se transforme rapidement en mal-être. C’est l’engrenage vers une surenchère de comportements extrêmes pouvant entrainer la mort, sa propre mort mais aussi entrainer des morts collatéraux (excès de vitesse, conduite d’un véhicule en état d’ivresse ou sous l’emprise de psychotrope, violence physiques envers d’autres personnes).
L’angoisse de morcellement peut paradoxalement aussi survenir chez des personnes très sensibles émotionnellement. Leur empathie est décuplée. Elles captent autour d’elles toutes les émotions des personnes environnantes et s’en imprègnent inconsciemment. Alors elles se sentent tellement submergées et impuissantes à faire face à tout ce qu’elles captent (émotions, pensées, états psychologiques autour d’elle) qu’elles s’épuisent.
La solution pour retrouver leur énergie est de se couper momentanément de la relation aux autres pour pouvoir se retrouver elles-mêmes, dans la solitude et se ressourcer. Si elles ne le font pas, elles risquent de tomber malade.
La terreur épidémique mondiale
Les explications données par Christian Duchaussoy dans la vidéo ci-dessus, concernant l’influence des cycles planétaires sur l’Histoire humaine, me semblent cohérentes.
Cependant, une influence n’est ni « bonne » ni « mauvaise », elle propose une orientation qui selon l’intégration qu’en fera la personne (selon sa capacité à évoluer), lui sera bénéfique ou défavorable.
L’influence des positionnements astrologiques agit sur l’évolution de conscience de l’humain, si tant est que celui-ci ait le désir et la volonté d’évoluer afin de vivre sa vie comme un être souverain et non plus comme une personne dépendante.
La dépendance à une autorité sécurisante extérieure, gouvernement, système médicale, organisation économique ou la dépendance à une personne, repose sur la peur de perdre, la peur du morcellement, la peur de mourir.
Comment un virus a-t-il pu engendrer une crise sanitaire mondiale et conditionner l’humanité à se laisser manipuler par des lois totalitaires, par des lois liberticides ?
L’art de la manipulation de masse est d’induire la peur par des informations anxiogènes et manipulées afin de recueillir le consentement des individus concernant des décisions prises « soit disant » pour leur bien-être, alors que ces mêmes décisions musèlent leur liberté d’être, musèle leur liberté de se soigner selon un choix éclairé, musèlent leur liberté de voyager, musèlent leur droit à travailler.
L’art de la manipulation de masse repose aussi sur une succession alternée de discours rassurants et de discours angoissants, de mensonges et de vérités, saupoudrés selon le discours, de culpabilisation ou d’encouragements. Ainsi les personnes perdent pied au fur et à mesure, devant l’incohérence des propos tenus et se laissent diriger par lassitude, convaincues qu’elles ne sont pas spécialistes dans la gestion des crises et que d’autres savent mieux ce qui est bon pour elles.
La peur de mourir, la peur d’être responsable de la mort des autres, la peur de perdre un travail, la peur de perdre de l’argent, la peur de se sentir rejeté du groupe si l’on ne se conforme pas à la pensée unique, la peur de ne plus vivre « comme avant » a donné raison à une gestion de crise sanitaire incohérente et ubuesque.
Que faire pour sortir de la répétition de l’Histoire Humaine?
Les cycles astrologiques sont une opportunité de transformer la répétition involutive en une création nouvelle évolutive.
L’humanité évoluera seulement si elle arrête d’emprunter les routes du passé, et crée de nouveaux chemins. Cela veut dire que chacun possède en lui une cartographie singulière qu’il doit suivre. Cela veut dire que chacun possède sa boussole qui le guide.
« Un problème ne peut être résolu avec le même niveau de conscience qui l’a crée » disait Albert Einstein
La peur est l’unique responsable de la répétition de l’Histoire humaine depuis des millénaires. L’Histoire humaine est basée sur le pouvoir, le profit et la peur.
Les guerres, les conflits, les crises économiques et sociales attisent la peur (peur de mourir, peur de perte financière, peur de manquer de nourriture).
Ainsi la peur alimentée par divers scénarios, permet de développer la soumission, de remettre son pouvoir individuel (de discernement, de réflexion) à une personne ou à un groupe de personnes, en échange de sécurité (sécurité toute relative), en échange d’argent, et de loisirs/divertissements (culture, concerts, cinéma, spectacles, rencontres sportives).
Ces mêmes personnes qui renforcent leur pouvoir par la soumission d’autres personnes, sont à la tête de grosses entreprises industrielles, pharmacologiques, bancaires ou dirigent des organisations gouvernementales, médicales, des grandes entreprises informatiques dotées des technologies d’intelligence artificielle. Elles se partagent des profits financiers à grande échelle, qu’elles font fructifier par la peur des virus, par la peur des épidémies, par la peur des guerres, par la peur de l’appauvrissement sociale-économique. Plus l’individu a peur, plus il est influençable et soumis pour « sauver sa peau »
Le défi de l’humanité est de ne plus nourrir la peur. L’ignorance est l’engrais de la manipulation.
Croire en la pensée unique, croire que la pensée majoritaire est synonyme de vérité, croire toutes les informations entendues sans chercher à discerner si elles sont de bon sens et cohérentes, sans chercher à les confronter avec d’autres sources d’informations, favorise la manipulation de masse et la perte de son pouvoir personnel.
L’antidote à la peur (je parle ici de peur chronique) est d’arrêter de chercher à l’extérieur ce qui se trouve en soi : la sécurité.
Préserver notre besoin de se sentir en sécurité, est de se couper d’abord de toutes sources d’informations anxiogènes et revenir à son quotidien dans le présent. Observer que dans le moment présent, nous pouvons répondre à notre besoin d’être en paix, en nous concentrant sur notre activité du moment, en étant attentif à nos ressentis corporels, aux battements de notre cœur, au souffle de notre respiration. Dans le moment présent nous pouvons porter attention aux personnes qui nous entourent, nous pouvons apprécier la beauté d’une fleur, nous pouvons nous amuser du comportement de notre chat ou de notre chien.
Apprendre à observer nos comportements et nos ressentis dans les situations que nous vivons permet de savoir si nous continuons de nourrir la peur.
Exemple :
Observer dans notre relation avec une personne, ce qui motive la relation, que ce soit une relation de couple, amicale, familiale, ou professionnelle.
Observer quelle raison motive le besoin de posséder une grosse voiture ? Une grande maison ? Un téléphone portable dernière génération ?
Quelle raison motive le fait de garder des économies, de ne pas s’en servir ?
Quelle raison motive le fait d’acheter beaucoup de nourriture et de faire des réserves ?
Quelle raison motive le fait de toujours vouloir être en compagnie des autres et de ne pas supporter de rester seul ?
Quelle raison motive le fait d’avoir des difficultés à se débarrasser d’objets dont on n’a plus utilité ?
Si vous vous reconnaissez dans un ou plusieurs de ces cas, c’est que la raison pourrait être, l’une des 3 peurs citées plus haut, ou toutes ces peurs ensemble : « la peur du manque » « la peur de mourir » « la peur de morcellement »
Toutes ces peurs reposent sur le besoin de se sentir en sécurité.
Les opportunités des cycles planétaires
Le défi pour chacun, afin de vivre le cycle planétaire en cours, est de se libérer des 3 peurs que je viens de citer pour développer son identité d’être humain autonome, responsable et souverain.
Un être humain autonome, responsable et souverain peut traverser toutes situations inconfortables car il reste dans la sécurité de son Savoir (issu de son origine Source) et non plus dépendant d’une autorité/sécurité/connaissance extérieure, pour répondre à ses besoins de santé physique, santé mentale et santé émotionnelle.
Dans ce cycle en cours, l’humanité est appelée à évoluer, à sortir des schémas du passé pour construire le nouveau. Pour cela, elle est soutenue par les astres et bénéficie des forces cosmiques.
Si l’humanité ne profite pas de l’opportunité offerte, par manque d’identité individuelle, alors elle risque de répéter l’Histoire, dans une boucle sans fin.
Sortir de la boucle, c’est ne plus se laisser agir par les peurs mais par la volonté de se détacher de toutes formes d’enfermements inconscients, en développant sa maitrise à gérer ses émotions, son mental et prendre soin de son corps.
Soit l’humanité poursuit sa course folle vers le transhumanisme* dans lequel la science et la technologie sera la Nouvelle Religion dont l’Homme sera dépendant.
Soit l’humanité retrouve la voie de son origine, c’est-à-dire la voie de l’Humain Cosmique, où l’Homme évolue par sa Conscience, par l’ Esprit et devient créateur conscient, responsable et souverain.
Marielle
*Le transhumanisme repose sur les progrès de la médecine, de la technologie, de l'informatique, de la robotique et de tout ce qui peut s'apparenter aux sciences et à l'intelligence artificielle, afin de modifier l'humain en un humain augmenté, aux capacités illimitées .